domingo, 13 de septiembre de 2015

PRÉLUDE

NdT: Je m'excuse avec les lecteurs francophones pour les possibles fautes de syntaxe et d’orthographie, je ne suis pas un pro. 



Cassandra! Cassandra!, pressa Faustina, qui s’appuyait sur le mur de la grotte.

La jeune fille, qui regardait la pluie tomber dehors, entra immédiatement en écoutant l'appelle de sa grand-mère.

Mamie, j'y suis, que se passe-t-il ?

En tournant sur elle-même, la vielle femme commença à tâtonner aveuglement en cherchant sa petite fille. La fille étendit la main et attrapa celle de sa mamie.

Le coffre, il me faut le coffre.

La fille aida à l'ancienne femme à s’asseoir devant une table. Immédiatement, elle ouvra la porte d'un vieux armoire en bois pourri et des gonds rouillés. De l’intérieur elle prît un coffre d'éblouissant beauté. Le bois avait des fins gravures des femmes qui adorent le ciel. Les robes de ces femmes gravées avaient incrusté des pierres précieuses de différentes couleurs. Cassandra retourna à côté de sa grand-mère, et posa le coffre sur la table. La fille prit la main de la vielle et la posa sur le coffre.

Cassandra, ma fille, j'ai vu le futur de Nirvana. Le royaume pourrait être détruit bientôt. Les Sept Seigneurs périront et sept nouveaux Seigneurs régneront. Sur le trône l'obscurité régnera et les humains, les elfes, les nain et même les sirènes plein de tourments affronteront.

Quand as tu vu ce future si horrible, mamie ?

—Peu import ça, Cassandra : aujourd'hui, hier, il y a une semaine... ce, que j'ai vu, arrivera bientôt

—Mais... On peut pas empêcher un futur si atroce ?

—Cassandra, n'oublie jamais que même dans la plus profonde obscurité, une lumière se lèvera toujours. Les horreurs que ce monde vivra, des siècles auparavant on était déjà arrêtés. Ma fille, Tu as toujours été avec moi, tu as appris à voir au delà du présent, à transiter les chemins que moi même je transite, même si tu es jeune et que tu ne parvient pas à contrôler ton pouvoir complètement, le jour arrivera où ta sagesse sera requise.

—Qu'est-ce que tu veux dire, mamie ?

—Tuas toujours voulu savoir ce qu'il y a dans ce coffre, bien alors ce soir tu vas le découvrir, quand la nuit arrive à son point culminante. Mais pour l'instant, fait moi un faveur et allume le bûcher.

Cassandra s'éloigna de la table en regardant sa grand-mère. Celle-ci sourit paisiblement. Ses yeux blancs comme la lait regardèrent vers le néant, ou ver le future ou le passé pendant que se mains saisissaient le coffre.

La jeune fille s'interna encore plus dans la grotte pour ramasser des morceaux de bois. Elle porta ceux-ci jusqu'à l'endroit où la vielle dame reposa. Il l'a suffit quelques allées retours avant de collecter le bois suffisant pour allumer le bûcher.

Une fois le feu prêt, Cassandra posa un grand chaudron sur le feu. À l'intérieur de celui-ci avait un liquide épais, d'une couleur malsaine.

—Ce monde a connu des innombrables horreurs. Des créatures et des êtres ont disparu, il y en eu ceux qui sont devenus des légendes, d'autres ont été simplement oubliés —reprit Faustina quand Cassandra s'est assoie en face d'elle. Le feu crépitait en jouant avec le chaudron en fer.

—Mamie Faustina, je n'arrive pas à comprendre ce que tu me racontes, s'il te plaît, explique moi encore ce qui arrive à Nirvana.

—Patience cherie, écoute d'abord ce que j'en ai à te dire, car tu m'entendras plus jamais.

Cassandra essaya de répliquer, mais la vielle dame leva une main pour la faire taire. Les rides marquaient la peau de la ancienne femme. Les ombres projetés par les feu donnaient un air lugubre au visage de la vielle en remarquant les taches dans celui-ci, ainsi que ses yeux blancs.

—Toute vie doit finir dans ce monde, parfois celle ci finit plutôt comme celle de ta mère, parfois elle prolonge vachement comme la mienne... mais tout être doit mourir.

"Cependant, il y a fort longtemps, une femme a existé. Elle avait transgressé les lois de la nature en prolongeant sa mort. Elle cherchait la vie éternelle. Ainsi elle a déformé son existence et celle du gens qui l’entouraient. C'était des moments d'obscurité pour tous les êtres dans cette terre.

—Mais c'est quoi le rapport de cela avec ta vision, mamie ?

—Tout!

Cassandra attendit la suite, mais la femme se plongeait dans ses pensées.

—Tout!—murmura pour elle même la vielle— Tout...

Le contenu du chaudron commençait à pétiller. Cassandra laissa Faustina assoie à table avec ses pensées. La jeune fille prit deux terrines en argile d'un étager. Elle les remplit avec le liquide grisâtre du chaudron.

—Le dîner est prêt —Annonça Cassandra. Elle posa une de terrines en face de Faustina. Ensuite la fille posa une cuillère en bois dans la main de l'ancienne. Elle reprit sa place à table. Elle mangèrent en silence le liquide épais et grumeau qu'elles avait comme dîner.

—Excellent ! —déclara Faustina une fois fini son assiette.

—Ouais... Si tu veux mamie, j'aurais voulu un fruit à la place.

—Ceux que tu voudrais est d'aller au delà des limites de cette montagne ma fille.

—No, no mamie... ma place est ici, avec toi... quoique... no, pas possible —Cassandra rougit. Elle fixa son regard au sol —. Mamie, s'il t'es plaît, continue ton histoire —ajouta la fille en chuchotant.

—Tu ne dois pas avoir honte ma fille —Cassandra ne répondit pas. elle continua avec le regard fixe dans le contenue de sa terrine.

Faustina rit avant continuer son récit : — Les dieux terrestres ont imploraient aux divinités de leur permettre de se débarrasser de cette femme. Celle-ci avait gagné du pouvoir avec le temps. Cependant, les divinités avaient ignoré les prières des dieux. Alors, les quatre dieux ont confronté la femme, mais ils ne sont pas parvenus à la vaincre. Cet événement a fait que cette femme se rend compte du fait que elle pouvait être attaquer, donc son éternité enlevée, c'est ainsi qu'elle a décidé de trouver son conjoint, son amant et son gardien de sécurité. Le royaume des ténèbres s'était élargi. Le monde était en danger. C'est dans ce moment là que les divinités ont agi.

—Quand tu parles des quatre dieux, tu parles de Ligiren, Eorthiren, Brimiren et Lyftiren?

—Exactement, les quatre dieux que l'on vénère aujourd'hui en Nirvana. Ligiren, la déesse du feu, Eorthen le dieu de la terre, Brimiren le dieu de l'eau et Lyftiren, la déesse de l'air.

"Les noms des divinités, que ces quatre dieux on vénéré, a été oublié, pourtant ils ont donné la clef aux dieux terrestres pour arrêter l'atroce femme et son conjoint. Le monde était à la limite d'être détruit mais mes dieux ont donné vie à la vie même.

—Qu'est-ce que tu veux dire avec ce qu'ils ont donné vie à la vie même ? En plus, je comprends toujours pas le rapport entre cette histoire que tu racontes avec ta vision mamie.

—Le contenu de ce coffre est composé par deux objets. Le premier perdu dans l'oublie du monde, et l'autre est seulement une légende.

Les mains raides de la vielle dame caressèrent le coffre avec tendresse. Les gemmes incrustées dans le coffre brillaient à la lumière du feu.

—Cassandra, je suis fière de toi, car si le monde est sauvé, j'en suis sûre que tu deviendrais une grande femme.

La jeune regarda à la vielle sans rien comprendre.

—Le contenu de ce coffre ne peux parvenir dans des mauvaises mains. Tu sauras dans le moment juste à qui tu dois donner ces trésors. Maintenant, ma chère fille, emmène moi à mon lit. Mes pauvres os ont besoin du repos —Faustina sourit à sa petite fille avant d'ajouter : — En effet, Faustina a besoin d'un bon repos.

Cassandra se dépêcha pour emmener la vielle dame à son lit en paille. Le lit était dans le profondeur d'une habitation dans la grotte, là bas la vielle se coucha.

—Cassandra, tu peux voir le contenu du coffre si tu en veux... tien celle-ci c'est la clef —la femme sortit une petite clef en fer de l'intérieur des ses vêtements et la donna à la fille —. Fait attention de bien garder cette clef ma chère fille, je plein confiance en toi, je suis sûre que tu pourrais le faire.

La vielle embrassa sa petite fille, ensuite elle lui baisa le front.

Quelques minutes plus tard, une fois Faustina était endormie, Cassandra retourna dans la chambre où le bûcher était presque éteint. Elle ne comprenait rien de ce qui s'était passé ce soir là. Les mystérieuses paroles de sa grand-mère. Les étrange récit sur le dieux. Les deux mystérieuses créatures qui avait presque détruit le monde. Mais surtout le contenu du coffre. Elle l'avait ouvert et dans son intérieur il n'y avait que un bracelet formé par deux serpents enroulées, chaque une dans un sens opposé en mordant leur propre queue. Une était blanche, l'autre était noire. Avec une roche ovale, composée par des écailles.

"Qu'est-ce que ce sont ces trucs mamie?" pensa la fille en posant la roche à nouveau dans l'intérieur du coffre. Dans ce même instant, une image comme elle n'avait jamais eu, se forma dans son esprit. Elle voyait un garçon roux débout en face d'une maison en flemmes. Des longues ombres, des grandes sombres entouraient le garçon. Ces-ci étaient menaçantes. Le garçon prenait la fuite, en s'éloignant du feu et des ombres. Il arriva devant une grande forêt et s'enfonça dedans celle-ci.


Cassandra était à genoux couverte d'une transpiration froide, la respiration agitée. Cependant, celle-là n'a pas été la dernière de ses visions. Ce soir là elle eut un torrent des images. Au levé du soleil dans l’horizon, Cassandra était accablée. Malgré la fatigue, la fille se prépara pour dire adieu à Faustina qui était partie en voyage au monde de non vivants. Maintenant elle comprenait ce que Faustina avait essayé de lui dire.

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